Philip Reyes MEMBRE + les pilliers de la société› date d'arrivée : 14/06/2014 › baisers volés : 102 › avatar : Shiloh Fernandez › crédits : tumblr, shiya › pseudo : Marion
| Sujet: LIP ▲ I trust you. That’s bigger than love for me Sam 14 Juin - 11:14 | |
| Philip, Hugo Reyes i think she messed me up bad. ❖❖❖ nom Reyes. prénom(s) Philip, Hugo, Arthur. âge 26ans. date, lieu de naissance 13 décembre, à Anchorage. origines Sa mère est né en Alaska, son père quant a lui est mexicain. statut civil célibataire. orientation sexuelle hétérosexuel. étude ou boulot barman (anchorage). caractère Indépendant, fier, courageux, pragmatique, plus sensible qu'il n'y parait, jaloux, méfiant, sauvage, rancunier, impulsif. groupe lavander. avatar Shiloh Fernandez. Il fume comme un pompier, une horreur, il n'a d'ailleurs pas l'intention d'arrêter de si tôt. + Il est un peu bourru, brusque même avec les gens qu'il ne connait pas, il ne passe pas par quatre chemins. + Il n'est pas du genre à faire les magasins, ça l'emmerde vraiment, du coup, il n'a pas vraiment changé sa garde robe depuis 3ans. + Il a un chien nommé Kyra pour qui il a une affection énorme, plus importante que pour certains êtres humains. + Il n'a pas vraiment envie de se relancer dans une relation amoureuse, la dernière a laissé quelques séquelles. + Il a une cicatrice sur l'avant bras droit assez importante, du à une chute en vélo lorsqu'il était gamin. + Pas sportif pour un sous, sa bonne condition physique est lié à son alimentation équilibré (il mange beaucoup de légumes) et le fait qu'il ne se déplace qu'en vélo. + Il a failli être père. + Il passe des heures devant des série télévisées, un véritable fan. que pensez-vous de la légende? y croyez-vous? une connerie, en dehors des choix que l'on fait, rien ne peut changer notre destin. Et simplement croire à ses bêtises fait en sortes que les choses se réalisent. Je pense qu'on est maitre de ce qu'il se passe dans nos vies, quoi qu'on en dise et ce n'est pas une malédiction inventé pour les enfant qui va y changer quoi que ce soit. parlez-nous de votre vie sentimentale, de manière générale. Ma mère m'a souvent bassiné avec le fait que je devrais me faire plus de copains copines, laisser les gens entrer. Je l'ai fais avec elle... un désastre, si ma dernière "relation" m'a appris quelque chose, c'est que l'amour peut faire très mal. Alors franchement, si c'est pour me sentir comme une merde pendant des mois, je préfère laisser tomber. Surtout que si l'on creuse bien, les cicatrices ne sont pas recousues. êtes-vous plus du genre fétard ou flemmard? J'ai été très fêtard, trop peu être, il y a quelques années, je considérais qu'une bonne soirée devait être accompagné d'une excta ou au moins de quelques verres de vodka, jusqu'à ce qu'un type fasse une overdose devant moi, je peux vous dire que ça m'a clairement calmé. voir des couples heureux, ça vous fait quoi? Tant mieux pour eux, même si je suis un peu cynique sur la question et que j'ai parfois du mal à y croire. Être heureux, c'est si facile à feindre qu'il est souvent difficile de prêcher le vrai du faux. Mes parents par exemple, je les croyais heureux, tu parles... Dans notre dos, ils faisaient que s’engueuler et ils ne baisaient même plus. pensez-vous que la malédiction à joué sur votre vie sentimentale? Pas du tout. Vous voulez que je vous dise ce qui a joué sur ma vie sentimentale : j'ai fais confiance à la mauvaise personne, cette salope a pris mon cœur dans ses mains pour en faire des confettis. Le pire, c'est que je suis sure qu'elle y a pris un plaisir odieux. La garce. ✩ good to know you Je me frotte les yeux, le réveil n'est pas simple ce matin là, je m'en souviens comme d'hier, un orage avait éclaté et j'avais rejoins le lit de mes parents, confortable et rassurant. Quand j'ouvre les yeux, ils ne sont plus là, je croise mon grand frère Louis dans le couloir : t'as encore dormi avec les parents, t'es vraiment qu'une mauviette. me lance t-il avant de rejoindre la salle de bain. Ces mots pourraient faire mal, mais il me persécute depuis que je suis tout gosse, alors ils coulent sur moi comme de l'eau. Je n'ai jamais vraiment su ce qu'il a pu me rapprocher : ma naissance tout simplement, et peut être l'amour inconditionnel que me porte maman, j'ai toujours été plus chouchouté que lui dans un sens. Dring. Si tôt un dimanche matin, même mon père est étonné, il regarde à travers le judas. Retourne dans ta chambre Philip. Ordonne t-il d'une voix sévère avant d'ouvrir la porte. Je reste en haut de l'escalier, trop curieux pour m’exécuter. Vous êtes Lazzrus Reyes ? Deux policiers se tiennent dans l’entrebâillement de la porte et regarde mon père avec une rigidité redoutable. Ils ne tardent pas à le menotter devant mes yeux. Je descend les escaliers en trombe. Mon père me lance un regard triste et ma mère me serre dans ses bras, me promettant que tout irait bien. Tu parles oui, bobards, calomnies. Je n'ai plus jamais revu mon père depuis ce jour, il a été coffré pour trafic de drogue et a pris dix ans de taule avec sursis.
Planté devant la télévision en compagnie d'Angie, je pose mes pieds sur la table et je lui tend le pétard que je viens d'allumer. Angie, c'est ma meilleure amie, et aussi ma voisine, je la connais depuis que je suis né ou presque et avec elle, tout est plutôt simple, elle me connait et me comprend. Je la fixe un instant, une idée saugrenue me trotte dans la tête depuis quelques jours. Quoi, j'ai un truc sur le visage ? Les hormones parlent plus qu'autre chose à 14ans, il faut le dire. On pourrait s'embrasser ? Les yeux grand ouverts, elle se tourne vers moi, abasourdie. J'hausse les épaules. Ben ouais, faudra bien qu'on essaye à un moment, on pourrait s'entrainer. Elle me pousse : t'es vraiment trop bête des fois. Elle pense que je plaisante, pourtant loin de moi cette idée mais je préfères m'abstenir de commentaires, notre relation est si parfaite, ça serait con de tout gâcher avec un truc aussi débile. Elle prend alors la télécommande et change de programme pour mettre un de ses trucs de filles, je grogne un peu mais je la laisse faire, on a compromis, chacun son tour, on a la télécommande et l'autre ne dit rien.
Si a=b et que... Elle ne m'écoute pas, la main sous son menton, elle pouffe, son prénom c'est Rebecca, elle a un an de moins que moi mais beaucoup plus d'expérience que la plupart des gamines de son âge, sa réputation la précède. Rebecca tu m'écoutes ? Elle lève les yeux au ciel, se lève et vient s'assoir sur mes genoux avant de prendre mes lèvres d'assaut. Je passe une main dans ses cheveux. Il y a entre nous comme une évidence, une descente vertigineuse en enfer qui ne fait que débuter. De ses mains expertes, elle me tate l'entre jambe et on partage ce jour là notre première fois, ma première fois. Je m'affale sur le lit à côté d'elle alors qu'elle se rhabille. Elle est superbe, je suis en extase devant ses formes généreuses, sa poitrine rebondie et ces lèvres goût cerise. Je crois pas m'en être rendu compte ce jour là, mais dans le fond, je commençais déjà à tomber amoureux d'elle. A plus fit-elle nonchalamment quand elle eut fini de se rhabiller. Et me voilà, comme un con, en pleine après midi, à poil dans mon lit après avoir perdu ma virginité, pas vraiment comme ça que je l'imaginais mais bon...
Huit mois, une succession de nuit sans lendemain, parfois défoncés, parfois alcoolisés. Le truc, c'est qu'à force, elle restait plus longtemps après, on discutait, on riait. Il parait que l'amour sublime notre existence, alors je dis oui, cet amour, je le veux du plus profond de mon être car en dehors des moments passés avec ma meilleure amie, ce sont les seuls où je me sens véritablement vivant. Qu'est ce qu'on est ? Elle arque un sourcil et répond doucement en caressant mon torse : Amis.Une définition étrange de l'amitié, c'est vrai, Angie, c'est mon amie. Alors c'est comme ça qu'elle nous voit. Désillusionné, je baisse la tête et je fixe mes chaussures. Elle ne m'a jamais rien promis et pourtant, j'avais dans le fond, espérer tellement plus. Je la laisse quelques heures, lui expliquant que j'ai quelques courses à faire. De retour avec deux cafés en mains, ils s'éclatent sur le parquet de ma chambre quand je la surprend avec mon frère, elle est sérieuse là ? Je pars en claquant la porte. Hey, attend... Pourquoi tu es si en colère je croyais qu'on avais qu'on étaient de simples Amis ? Je pousse un soupire et ajoute : Merde, toi et ton amitié pourrie vous pouvez aller vous faire foutre. J'en veux pas. Je te veux toi. Elle ne répond rien, récupère ses affaires dans la chambre et me passe devant sans dire un mot de plus. J'avale difficilement ma salive et je passe ma colère sur mon frère que je cogne en plein visage. Il ne réplique pas, il comprend qu'il est allé trop loin.
Je suis un peu une épave, les restes de mon coeur sont éparpillés et je n'ai pas d'astuce pour les recoller, de la glue ne suffirait pas à réparer l'outrage. Je le recroise par pur hasard à une soirée organisée par un ami commun, dans sa robe du soir noire, elle fait chavirer tous les coeurs, les hommes la désirent et les femmes l'envient. Elle me voit, nos regards se croisent et elle me sourit comme si de rien n'était et je fais de même, comme un vulgaire pantin, incapable de répliquer. Ses pas la mènent à moi et elle commence à jouer avec mes cheveux. Je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi... me murmure t-elle tendrement à l'oreille avant d'en mordiller le bout. Résister, ça aurait surement évité beaucoup de désagréments, une existence dégueulasse d'esclavage, je lui offre les plein pouvoirs sur l'organe qui me permet de vivre à nouveau. Et je suis ravie d'y retourner. Je me vautre dans ses bras, assoiffé, en manque de ma dose de drogue sous le regard effaré de ma meilleure amie qui me servait d'accompagnatrice à cette soirée.
Puis un jour, après de long mois où mes lèvres n'ont pas osé prononcé les trois mots qui m'auraient menés à ma perte, je frappe chez elle pour découvrir qu'elle est partie. Je prend mon téléphone et je compose son numéro. Elle décroche après une trentaine de tentative, mais ne parle pas. Becca ? Elle renifle, je l'entend à l'autre bout du fil mais elle ne décroche pas un mot. Sérieusement ? Tu te barres et je n'ai même pas droit à une explication ? Je secoue la tête, j'ai envie de jeter mon téléphone contre le mur, oublié cette histoire, l'amnésie aurait ses bons côtés. Tu sais quoi ? va te faire foutre. T'es qu'une salope égocentrique. Je te hais, partir est la meilleure décision que t'es prise de toute ta vie. Je devrais peut être te remercier, grâce à toi, je sais maintenant que l'amour c'est pas fait pour moi. Je pousse un soupire et je raccroche. Je jete mon téléphone et la totalité des affaires se trouvant dans mon périmètre volent en éclat. C'est à ce moment là qu'Angie fait son entrée pour me prendre dans ses bras, est ce qu'elle a tout entendue, je n'en sais trop rien, et dans le fond, je me contrefou. Je pose ma tête contre son épaule et fond en sanglots. La deuxième et dernière fois où j'ai pleuré.
Deux ans ont passés, j'ai tenté les études supérieures mais c'était clairement pas mon truc, avec les notes minables que j'avais malgré l'aide de ma meilleure amie, c'était peine perdu, alors j'ai pris un job en tant que caissier au bowling, pas le job de mes rêves mais comme j'ai aucune idée de ce que je veux faire plus tard, j'ai fait ça quelques années avant de devenir barman, pas vraiment une évolution en soit, mais ce boulot me plait. Installé dans le canapé du salon, je déballe un vieil album photo avec Angie, on vient d'emménager ensemble. Merde, tu te souviens de ce jour là, ma mère m'avait forcé a porté ce déguisement sinistre de Casimir. On part tous les deux dans un fou rire. Elle tourne la page et on tombe sur une photo de Rebecca et mon visage s'assombrit. Je baisse la tête. Elle t'a vraiment brisé, hein ? Je n'avais plus pensé à elle depuis un moment, elle fait partie d'une période de ma vie que j'ai choisi d'enfouir dans un coin, bien sur, les cicatrices ne sont pas pansées. Comment on fait pour oublier ? Elle me regarde dans un sourire triste et me caresse la joue : Je crois qu'on ne peux pas... Cela veut il dire que je suis voué à n'être que l'ombre de moi même. Après tout, j'étais heureux avant elle.
Un appel d'Angie en pleine nuit, elle est ivre morte et la laisser rentrer ainsi seule alors que des rapaces rôdent dans les parages et ne serait pas contre l'idée de lui faire du mal. Je prend ma voiture et la récupère devant la boite de nuit, elle ne tarde d'ailleurs pas à s'endormir et je la porte jusqu'à son lit avant de la border. Tu sais que je t'aime Lip. Lip, elle est la seule à m'appeler ainsi, je suis étonné car elle n'est pourtant pas du genre à prendre des cuites et rentrer saoule mais ça arrive à tout le monde. Je t'aime aussi. Je n'ai pas compris cette nuit là, qu'elle ne m'aimait pas comme je l'entendais, qu'elle m'avait en fait avoué sa faille la plus troublante. Je lui caresse le visage jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Angie est pour moi la personne la plus importante dans ce monde, elle représente tout ce que j'ai de plus précieux. Je l'embrasse sur le front avec une tendresse inouïe et je rejoins ma chambre. Elle me prend la main avec une vivacité étrange compte tenu de son état : Dors avec moi. Je souris, ce ne sera pas la première fois, elle se glisse dans mon lit à chaque fois que l'orage retentit. Je m'installe à ses côtés, passant une main autour de sa taille.
prénom/pseudo marion. âge 26ans. tu es... inventé comment as-tu découvert le forum? sur bazzart :). t'en penses quoi? il est superbe, ce n'est pourtant pas sérieux, mais j'ai craqué. fréquence de connexion tous les jours, moins le weekend logiquement. un petit mot? écureuil.
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<taken>shiloh fernandez</taken> ♢ <nm>philip reyes.</nm>
Dernière édition par Philip Reyes le Mer 18 Juin - 22:37, édité 17 fois |
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