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| Sujet: Nous sommes de ceux qui ont du mal à s'entendre penser Ven 13 Juin - 9:08 | |
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Carter, Aeddan and i'm dealing with dilemmas in my not-so-stressful life . ❖❖❖
nom Carter, c'est un nom assez connu et commun. prénom(s) Aeddan est son seul prénom, ces parents n'ont pas voulu embarrasser avec d'autres . âge vingt six ans. date, lieu de naissance le seize novembre mille neuf cent quatre vingt sept à Bridal Veil Island en Alaska, et ouep, c'est pas la classe ça. origines Américaine du côté de ma mère et Russe du côté de mon père, un sacré mélange. statut civil je suis sous adultère ça compte ? non sérieusement c'est complexe, je suis célibataire mais attiré par quelqu'un . orientation sexuelle Euh... Hétéro, ça me convient. étude ou boulot masseur-kinésithérapeute. caractère charmeur, doux, têtu, obstiné, drôle, franc, réservé, sociable, réfléchi, manipulateur quand il le veut, souriant, impulsif, perfectionniste, rancunier, fière, méfiant, énergique et curieux, distant, charismatique, colérique . groupe azalea. avatar Alex Pettyfer. Il prend toujours 3 voir 4 cafés dans la journées, sans ça c'est une journée de gâché + Il préfère le chocolat, au confiserie sans en abuser bien sûr + Il fait beaucoup de sport et de moto, ce sont sa passion + Il regard souvent derrière lui, pour voir si il n'a rien oublier quand il quitte un lieu ou si il n'a rien fait tomber après son passage + il a horreur de plat chinois dont certain il trouve suspect + Il préfère tomber sur des araignées ou serpents que sur des chenilles. + il a la phobie des clowns + il fait attention à ce qu'il mange non pas qu'il fait attention à son corps mais parce que c'est vitale pour sa santé + Il chante souvent accompagné d'une guitare le plus souvent, bien qu'il trouve sa voix horrible, mais ça ne fait pas fuir les gens, au fond il se dit soit qu'ils n'ont pas d'oreilles, soit il ne chante pas aussi faux qu'il le croit + Il sait parler 3 langues l'anglais, le français et le russe héritage de famille + il a du mal à faire confiance, mauvaise expérience par le passé, qui est tenace. + il ne boit pas ou plus, et il évite les produits illicites + il sait jouer de la guitare, du piano et de la batterie qu'il affectionne. Pour le reste, ce sont ces parents qui ont insisté pour qu'il sache jouer autre chose que de la batterie.+ il a pas mal de tatouage qu'il a fait qu'en il était adolescent que pensez-vous de la légende? y croyez-vous? Franchement... Je ne sais pas si je dois y croire ou non. A vrai dire, je ne pas parait mal poli, j'en ai strictement rien à faire. Tant mieux si les gens y croient ou non. ce sont leurs affaires. Pour ma part, il y a des chose plus importantes qu'une légende, non ? parlez-nous de votre vie sentimentale, de manière générale. La question est intéressante... Si je répond non, j'ai perdu ? Non je ne m'étale pas sur mes sentiments car au fond, un jour ou l'autre, on risque de se ramasser. Et puis, c'est assez personnel. Autant laisser place, au sous entendu. êtes-vous plus du genre fétard ou flemmard? Flemmard ? C'est quoi ça. Non connait pas, ça ne fait pas partie de mon vocabulaire. Fêtard plutôt, autant vivre sa vie à cent à l'heure. Elle peut être bien courte, sans qu'on ne sent rend compte. C'est maintenant, qu'on doit la vivre. voir des couples heureux, ça vous fait quoi? Ben rien, je suis pour ainsi dire, content pour eux. Si ils ont trouver chaussure à leurs pieds. C'est parfait ! Après tout, ça ne me regarde absolument pas. Ils vivent leurs vies, je vis la mienne. Pourquoi cherchait chez le voisin. pensez-vous que la malédiction à joué sur votre vie sentimentale? Elle est assez drôle cette question. Quand on ne donne pas d'importance à une malédiction. Je pense que forcément, elle n'influence pas sur votre vie sentimentale.
✩ good to know you
On peut blâmer son enfance, Accuser indéfiniment ses parents de tous les maux qui nous accablent, Les rendre coupables des épreuves de la vie, de nos faiblesses, de nos lâchetés, Mais finalement on est responsables de sa propre existence, On devient qui l'on a décidé d'être. Marc Levy
Je pouvais entendre les cris montés dans la pièce, les bruits de porcelaine qui venaient entrechoquer et se briser contre une matière solide. La peur s'emparait de moi, je savais qui en été l'auteur, bien sûr, je connaissais leurs voix pour les avoir fréquentés toute ma vie. Pourtant, je les avais rarement vus se disputer ainsi. Je crois que cette scène, je m'en souviendrais toute ma vie. Vous comprenez, c'est que les choses prennent un tournant dramatique. J'étais à côté de mon frère et je regardais les frasques de nos parents. Mon petit cœur battant à cent à l'heure, la peur frayant son chemin dans tout mon corps. À ce moment-là, je crois que le seul réconfort, c'était de sentir la protection de Kelian, auprès de moi. Il devait ressentir la même chose à ce moment-là, pourtant, il ne montrait pas grand-chose. Une pensée traversait à ce moment-là mon esprit, les grand-frère se comportaient-ils toujours ainsi ? Certainement ! Je n'arrivais pas à comprendre les mots, du moins la signification. Mon père se comportait bizarrement, ayant du mal à trouver ces mots, ils arrivaient mâchés entre ces lèvres, peinant à se tenir debout. Ma petite main venait rencontrer celle de mon frère. Le regard posait sur cette scène, qui me semblait irréaliste. Ma mère, elle se battait devant des mains qui tentaient de l'encercler, d'avoir de l'emprise sur elle, quitte à la frapper. Cette image, me pétrifiait sur place. Les disputes entraînaient-elles les coups inévitablement. « Les enfants montraient dans votre chambre ... TOUT DE SUITE ! » Pas un geste, pas un mot, aucun de nous deux, avaient décidé de bouger, comme si, la scène nous pétrifie sur place. Rien n'était normal ce soir-là. La violence de notre père, un taux d'alcoolémie dépassant le seuil, ils nous terrifiaient littéralement. La voix de notre mère, s'amplifia un peu plus, détachant notre effrois devant la peur qui nous tétaniser. « Kelian emmène ton frère dans ta chambre, c'est un ordre !!! » Devant l'autorité de notre mère, mon frère n'avait pas d'autre choix que d'obéir, sortant de cette léthargie. Son bras entourait mes épaules frêle de petit garçon, m'entraînant avec force dans les escaliers. Mon regard n'arrivait pas à se détacher de ma mère, inquiète mais pourtant forte devant nous, un semblant vulnérable. Avant que les coups pleuvent sur son corps si fragile devant mes yeux d'enfant. S'empêchant de crier.
Tomber est permis ; se relever est ordonné Proverbe russe
Mon réveil était clame, sans douleur, je tentais de me souvenir de ce qui c'était passé, mais sans succès. Pas une seule image, pas un souvenir, rien... Je tentais avec difficulté d'ouvrir les yeux, mais même cette action, s'avérer compliqué. J'avais réussi à les ouvrir malgré la difficulté. Découvrant une pièce méconnue et blanche, qui l'illuminait. Où étais-je ? Perdu, c'est le premier sentiment que j'avais ressenti. Je cherchais un visage familier autour de moi, tentant de me relever, aucun de mes membres ne répondaient, m'immobilisant sur le lit, je ne pouvais plus bouger, à ce moment-là seule la panique, séparait de moi. Quand une voie, vient se dissimuler dans mon oreille, une main réconfortante sur l'épaule. Chute, ne bouge pas ! Tu vas te faire mal. Tu es à l'hôpital Aeddan ? L'hôpital ? Les mots n'arrivaient pas à passer mes lèvres. Mon regard se posa sur cette voie, avant de découvrir le visage de ma mère fatigué et triste. Caressant mes cheveux. Un petit sourire sur les lèvres. Que c'était-il passé ? C'était la première chose qui me traverser la tête, la panique au ventre. Et comme si ma mère, avait comprit ma question, formuler inconsciemment dans mon esprit. Son visage changea, une larme coulant sur sa joue. Aeddan, je dois te dire quelque chose. Je sentais l'hésitation de sa mère, je savais au fond que cela ne présager rien de bon. Tu as eu un accident grave... Une lésion cérébrale, qui a touché tes nerfs périphériques... Tu vas ... La voix de ma mère ne m'atteignait plus, accaparer par les questions. Qu'est-ce que cela voulait dire ? Je n'allais plus marcher, j'allais rester cloué sur un lit ou même un fauteuil ? Que ma vie allait changer alors que j'avais à peine seize ans ? Se fût un choc incroyable pour moi. Une peur insouciante qui me traverser. Un flash de l'accident, cette voiture fonçant sur eux. Sans avoir freiné. À cet instant, je s'effondrais, ronger par les remords. Ma vie allait forcement changer, et au fond, je ne voulais pas quel change, je n'avais pas envie de faire de concession. J'étais trop jeune.
"Notre plus grand mérite n’est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever à chaque fois". - Ralph Waldo Emerson
Aeddan comment ça va aujourd'hui ? ça va. Le médecin venait se faire son entrée dans la salle, un dossier marron clair sous le bras. Je savais une partie, que contenait le dossier, mes examens, l'évolution de ma santé, avec ces courbes vertigineuses qui vous faisait perdre la tête. L'évolution, parlons-en. Depuis quelques mois, Kinés, médecin, infirmières m'encourageaient, repoussant toujours mes limites. Au fond, j'étais un cas exceptionnel pour eux, un cas rare dans leurs parcours professionnel. Un patient qui essayait de retrouver l'usage de ces jambes, sans manquer de persévérance. Parce qu'il n'acceptait pas de rester dans un fauteuil, diminuait, pensant qu'il n'avait rien à faire la dedans. Pourtant, mon corps ne réagissait plus, comme avant. Ou du moins, il réagissait, mais je ne sentais plus rien. Plus de douleurs, plus de connexions entre mon corps et mon cerveau. Ce dernier était totalement indifférent à son appel. Ce qui peut paraître cool au premier abord, ce qui l'est moins quand on le vit, pour on ne fait plus certaine chose, de la vie courante, qu'on faisait avant, de peur façon de dire, que ça ne soit plus grave en réalité. Le médecin traversait la pièce, son regard absorbait par mon dossier. Ce qui éveillait ma curiosité, parce que l'expression de son visage était différente de d'habitude. Aeddan, tu te souviens qu'on a fait des analyses de sang à toi et tes parents, pour savoir, s'il y avait possibilité de compatibilité au cas où, si... Il arrivait quelque chose, avant de t'avoir opérer. Ces mots hésitaient, je voyais la réflexion s'abattre sur son visage. Je... Tes parents m'ont donné autorisation, pour t'en parler... Tu ... N'es pas leurs enfants. Tu as été adopté.C'est quoi l'expression déjà, le monde s'écroule autour de vous ? Et bien, cette phrase était loin d'être un euphémisme. Il fallait qu'un étranger me dise la vérité... La seule chose que je ressentais à ce moment-là, c'était tout simplement de la colère.
Le comportement borné des hommes en face de la nature conditionne leur comportement borné entre eux. Karl Marx
La lumière s'infiltrait difficilement entre les persiennes, le jour venait à peine de se lever. Mon corps était allongé sur le lit, à côté d'une silhouette que j'avais exploré le temps d'un soir, d'une nuit. Elle ne signifiait rien pour moi. Un bon moment passait seulement. Elle le savait, j'avais été clair, et elle ne m'avait pas cherché à me connaître mieux, elle avait simplement approuvé d'un signe de tête. La fumée s'échappait d'entre mes lèvres, pour s'échappait au-dessus de moi, de nous. Mon torse, légèrement, appuyait contre le montant du lit, son corps est venu se serrait contre le mien, pour ne faire plus qu'un. J'aurais dû passer mon bras contre elle, ou au moins avoir un geste d'attention envers elle. Pourtant rien, je restais stoïque, incapable d'éprouver autre chose que de l'indifférence. Un comportement détestable, pourtant, je ne savais faire que cela. Sers-moi dans tes bras, s'il te plait ? Maladroitement, ou plutôt avec aucun enthousiasme, mon bras venait s'entourer sur ces épaules, l'autre toujours après la clope. Je croyais qu'on s'était mis d'accord, pas de sentiment... Je voulais juste un peu de tendresses. Pourtant rien, je restais stoïque, incapable d'éprouver autre chose que de l'indifférence. Cette lueur que je redoutais tant, celle où inconsciemment, même si elle avait accepté une relation sans lendemain, elle espérait plus. Une femme qui attendait sa part d'amour, parce qu'elle en avait manqué. Je dois y aller... Sur ces paroles, je me levais chercher mes fringues éparpiller un peu partout, clope au bec. Elle tentait désespérément de me retenir, une main sur ma cuisse, l'instinct me poussant à reculer Arrête ça, je crois qu'on était d'accord, pas d'amour, pas ces sentiments de niaiserie, rien... Si tu en veux, tu n'as qu'à aller voir ton mari. Je n'ai pas envie d'être l'amant d'une femme plus âgée. Parfois, j'avoue, j'entretenais des relations purement d'un soir avec des femmes plus âgées. Parce que rien n'était compliqué avec eux, pas de prise de tête. Sauf que ce soir, c'était la mauvaise pioche.
On dit toujours que le temps change les choses mais en vérité, vous devez les changer vous-mêmes." Andy Warhol
Tu fais quoi ici ? Sa voix n'avait sorti de mes pensées. Je ne sais pas, pourquoi à ce moment-là, j'ai croisé son regard, j'aurais pu faire comme d'habitude l'ignorer. Pourtant, ce n'était pas le cas. Non, mon regard s'était littéralement accrocher au siens, sous ces traits doux et son regard charmeur. J'aurais dû me méfier un instant, savoir que rien ne se dérouler correctement dans ma vie. Je suis un peu chez moi, je ne me promène pas en short chez des inconnus ! À moins que tu ne le fasses chez toi ? ... Moi ce n'est pas mon truc. La première rencontre, première altercation... Qu'est-ce que je faisais ici ? C'était quand même, chez moi, enfin chez mon frère, enfin mon frère adoption, j'habitais un temps chez lui. Son arrogance, m'énerver. Et pourtant, l'attirance se faisait sentir. Je n'aimais pas sa façon qu'elle avait de prendre les autres, elle n'aimait pas mon ton employée. Pourtant, quelque chose agissait entre nous. Et franchement, je n'aimais pas vraiment cette tension qui se jouait entre nous. Parce que un jeu...
Tu sais ce que je veux ! Elle s'approchait dangereusement de moi. Le monde qui nous entourait, ne l'a dérangé en rien. Elle ne voyait que le jeu, cette tension palpable qui se jouer entre nous. Moi, je voyais le risque, mais je ne pouvais dissimuler non plus la tension, bien trop forte à mon goût. Jouer était un risque, cela allait forcément finir mal. Mon corps resserra l'espace entre nous, mon regard rivait au siens, avec cette intensité qui nous animait, un air de défi dans le regard. Arrête de jouer, ce n'est pas le lieu, ni même l'endroit, en plus on peut nous voir. Pourquoi tu as peur ? Mon sourire s'élargissait, mon regard explorant chacun de ces traits, avec un certain amusement. Depuis le temps, tu devrais savoir que je n'ai pas peur... Un raclement se fit entendre. Comme un bloc elle et moi, on se retourna d'un bloc, vers le son. Un bras venait entourer sa taille, cette taille que j'avais rêvée en ma possession, jalousement. Je ne vous dérangeais pas ? Non pas du tout, on discutait... La distance reprenait ces droits doucement. Les regards de confusion et de doute, en passant par la frustration d'être interrompu. Je ne vous ai pas coupé ? Deux hochements, synchroniser, pour toute réponse. Je devais vraiment arrêter les frais, un jour ou l'autre, je perdrais plus qu'un jeu. Je perdrais certainement, mon frère. Celui qui a toujours été là pour moi, qui m'a soutenu dans les passages de ma vie. Et moi, j'entretiens une relation assez étrange avec sa copine... Qui nous mènera forcément à l'inévitable, un jour ou l'autre... Un jeu dangereux.
prénom/pseudo Amandine/lilith. âge voyons ça ne se demande pas je suis majeur. tu es... personnage inventé comment as-tu découvert le forum? j'étais sur Thunder love version 2.0 et le 1 aussi xD bah oui, je suis... t'en penses quoi? il est sympa. fréquence de connexion 5/7. un petit mot? .
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<taken>alex pettyfer</taken> ♢ <nm>aeddan carter</nm>
Dernière édition par Aeddan Carter le Sam 14 Juin - 11:01, édité 31 fois |
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