Maxine Fitzgerald Lost in a sea of nightmares.› date d'arrivée : 13/06/2014 › baisers volés : 126 › avatar : Emma Stone › crédits : Ava : Emi Burton - Signa : Emi Burton › pseudo : Emi Burton
| Sujet: (M) ANDREW GARFIELD ~ I am nothing without you Dim 15 Juin - 2:06 | |
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James Nom I would die for you ❖❖❖
nom Au choix prénom(s) James âge de 28 à 30 ans date, lieu de naissance au choix origines au choix statut civil célibataire orientation sexuelle hétéro étude ou boulot au choix caractère rancunier , protecteur , gentleman , juste , jaloux , têtu , impulsif (etc) groupe au choix avatar Andrew Garfield
à savoir L'histoire est très libre ! Je ne veux pas imposer un passé bien précis. Simplement, il faudrait respecter certains petits points qui correspondent à ce que j'ai écrit dans mon histoire : - Il n'est pas d'ici, il est arrivé il y a 8 ans, pour la raison de ton choix ! - Peu de temps après son arrivée, il a rencontré Maxine, qui se faisait 'agresser' par un type pour une raison qu'il ignorait. Il s'en est mêlé pour l'aider, et est directement tombé sous son charme. - Pendant deux ans après ça, il a fait en sorte de la voir, de lui parler, de la connaître. Elle n'était vraiment pas facile, mais il a tenu bon. - Quatre ans plus tard, il la demandait en mariage, sûr de vouloir passer sa vie avec elle. - Environ un an après, elle lui annonce qu'elle est enceinte, pour lui c'est une merveilleuse nouvelle, il se voit déjà père. - Cependant, quatre mois plus tard, lorsque Max en est à six mois de grossesse, elle lui dit qu'elle ne veut pas du bébé, prête à l'abandonner parce qu'elle n'a pas confiance en elle. Il la quitte, profondément blessé par sa décision. - Ca fait plus d'un an qu'ils sont séparés. Il peut avoir fait ce que tu veux, mais en ce moment, il n'a personne. Il est toujours amoureux d'elle malgré tout, mais, trop fier et trop rancunier, il lui en veut énormément et n'est pas prêt de lui pardonner. - Concernant le bébé, il aurait trouvé le moyen de le garder, sans en parler à Max bien sûr. (surprise pour le rp :P)
Maxine Fitzgerald ✩Ex-fiancéeLe lien est assez clair dans ce que j'ai marqué précédemment. Ils étaient donc fiancés, fous amoureux, jusqu'à ce qu'elle foire tout et qu'il la quitte. Ils sont toujours amoureux l'un de l'autre mais ne se sont pas revus depuis leur séparation. Voici les extraits de ma fiche pour tout comprendre : - La rencontre :
Ce fut quelques années plus tard que sa vie, ainsi que celle de toute sa famille bascula. Elle était chez elle avec sa mère, sa sœur était à la fac et son frère au lycée. Elle, elle n’avait pas cours, alors elle se documentait sur les différentes techniques photo, ayant choisi d’en faire son métier. Elle avait toujours aimé ça, et en grandissant, la photographie était devenue une véritable passion. Elle se disait toujours que s’il se trouvait qu’elle était assez douée, ce dont elle doutait toujours, elle ouvrirait une galerie et y exposerait ses clichés, elle en rêvait. Elle était donc en train de perfectionner son art lorsque quelqu’un frappa à la porte, assez brutalement. Sa mère alla ouvrir et quand Maxine se retourna, elle aperçut des fédéraux postés à la porte, sans en comprendre la raison. Ils parlaient de leur père. Il était parti en voyage d’affaire, ou en tout cas c’était ce qu’il avait dit. Sans trop attendre, ils leur demandèrent de les suivre, comme s’ils avaient fait quelque chose de terrible. Maxine, toute craintive, avait déjà les larmes aux yeux et les mains qui tremblaient. Elle ne comprenait pas ce qu’il se passait. Ils arrivèrent au poste et bien vite, on leur posa des questions. Leur père menait une double vie, il avait menti sur toute la ligne, jusqu’à son nom, jusqu’à même son origine. Personne ne savait, pas même leur mère. Lexie et Naël arrivèrent peu de temps après et ce fut à eux de répondre aux questions. Maxine et sa mère attendait sur des chaises peu confortables, la mine maussade. Elle osa un regard vers sa génitrice, les yeux plein de larmes à l’idée d’avoir été dupée. « Tu savais… ? » Elle avait chuchoté, comme si elle avait eu honte d’en parler. Sa mère secoua la tête en signe de réponse. Elle n’était pas au courant. Il avait menti à tout le monde, il avait trahi sa famille. Celui qu’elle pensait le meilleur être au monde venait de la décevoir bien plus qu’on n’aurait pu l’imaginer. C’était comme si toute sa vie s’écroulait, comme si tout n’avait été qu’un tissu de mensonge. Aussitôt après, les gens s’étaient mis à parler d’eux, les insultant parfois, eux qui représentaient presque la honte de la ville sans même avoir été au courant. La honte, c’était ce qu’ils ressentaient tous. Maxine n’arrivait pas à s’en relever. « Eh ! C’est toi la fille de ce connard ?! J’parie que tu vaux pas mieux que lui pas vrai ?! Alors, c’est toi qui as volé toute la caisse du magasin de mon père la nuit dernière ?! » La veille, un magasin avait bel et bien été cambriolé, cependant, elle n’avait rien à voir avec ça. Elle baissait la tête, tentant d’ignorer celui qui l’agressait. « Allez avoues ! T’es aussi vicieuse que lui j’suis sûr ! » Elle ne savait plus quoi faire. Les larmes coulaient déjà sur ses joues, bêtement. Elle se sentait tellement faible… Sa sœur aurait sans doute déjà giflé cet idiot, mais elle, elle ne disait rien. Elle avait honte de son nom, honte de ses gênes, elle détestait son père pour avoir osé leur faire subir ça. « Laissez-moi passer s’il-vous-plaît, je ne savais pas pour mon père… Je ne savais pas… » Elle se sentait sale, trahie, avec un nom honteux qui lui collerait toujours à la peau. Le type en face d’elle était énervé, presque prêt à se venger. Elle serrait les poings, ruminant sa rage, enfouie bien en elle, lorsque quelqu’un vint se mettre entre eux. « Je ne sais pas ce qui se trame ici, mais si elle dit qu’elle ne savait pas, c’est suffisant non ? » Elle leva les yeux vers l’inconnu qui venait bizarrement de la secourir. Il n’était pas d’ici, il venait d’arriver, et sans doute ne connaissait-il pas ce qui était arrivé. Le type lâcha un juron et s’en alla. « Tu devrais faire gaffe avec elle, tu vas te retrouver sans un sous ! » C’était donc l’image que tout le monde avait de sa famille. Des voleurs, des tueurs même ! Le mystérieux sauveur se tourna vers elle et esquissa un sourire. Elle fit la moue, essuyant rapidement ses larmes pour reprendre sa fierté. « Je n’avais besoin de personne. » Il fronça les sourcils, peut-être choqué par la réaction de la jeune brunette. « Ca se voyait, tu te débrouillais parfaitement bien seule… » Il était ironique. Elle le détestait déjà. Elle n’avait plus confiance, plus en les hommes en tout cas, son père avait emporté ça avec lui. Elle le toisa un instant avant de s’en aller sans un mot. Après ça, toute sa famille décida de prendre le nom de jeune fille de la mère, Fitzgerald.
- Premier baiser:
Voilà deux ans que ce jeune homme l’avait aidé à se débarrasser de ce type. Deux ans qu’il lui parlait chaque fois qu’il la voyait, sans qu’elle ne comprenne pourquoi. Elle savait désormais son nom, et elle avait fini par lui dire le sien, pensant qu’il partirait après ça, mais non, il ne laissa jamais tomber. Qu’est-ce qu’il lui voulait ? Elle n’en savait rien, mais ça l’énervait. Le voir la rendait nerveuse, son cœur ne supportait pas. Elle avait juste envie qu’il disparaisse, qu’il reparte d’où il était venu. Elle le rejetait pourtant, elle lui faisait bien comprendre qu’il n’était pas le bienvenu, mais rien à faire, il s’accrochait, peut-être cherchait-il à obtenir quelque chose d’elle ? Elle n’avait tout simplement pas confiance. Même si les regards et les insultes cessaient peu à peu, elle était toujours morte de honte. Elle s’était finalement décidée à reprendre la couleur naturelle de ses cheveux, redevenant blonde bien soudainement, changeant à nouveau de tête. Ainsi, certains ne la reconnaissaient même pas, et c’était parfait. Sauf que James, son ‘sauveur’ ne tarda pas à la remarquer. « Ca te va mieux les cheveux blonds. Tu avais l’air bien plus triste en brune. » Il souriait, s’approchant d’elle au supermarché, comme s’il avait attendu qu’elle arrive pour lui parler. Elle en avait assez de lui. Elle soupira, exaspérée. « Laisse-moi tranquille, James. » Elle le regarda à peine une seconde et son cœur s’emballa déjà. Finalement, elle reposa son article sur l’étagère et sortit, n’ayant aucune envie de le voir encore et encore. Elle marcha aussi vite que possible, si vite qu’il dût courir légèrement pour la rattraper. « Max, attends ! Pourquoi t’es comme ça avec moi ? » Elle bouillonnait. Ce surnom qu’il lui donnait, elle le détestait, se rappelant sans cesse des moqueries des autres, presque traumatisée. Elle s’énervait rarement, mais ce type avait le don de la mettre hors d’elle. Finalement, elle craqua. « T’as aucun droit de m’appeler comme ça ! On est pas potes, on est rien, compris ?! Je sais pas ce que tu cherches, mais ça m’agace ! Fous-moi la paix tu veux ! » Voilà qu’ils se disputaient en pleine rue, attirant par la même occasion le regard des passants. Elle avait horreur qu’on la remarque comme ça. « Et si je refuse ? Si j’ai envie de te parler, tous les jours si possible ? » Elle fronça les sourcils. Mais qu’est-ce qu’il voulait à la fin ? Elle n’en pouvait plus, se sentant presque harcelée par ce type, qui lui plaisait pourtant, même si elle ne l’admettait pas. Sa main partit s’écraser contre la joue du jeune homme, elle était à bout. « Alors t’es vraiment trop con ! Qu’est-ce que tu veux ?! » Il frotta sa joue douloureuse, aussi énervé qu’elle, et finalement, il lui attrapa les bras pour l’embrasser. Elle ne s’attendait pas à ça et ne sut même pas comment réagir. Il lâcha ses bras pour poser ses mains sur ses joues. Il se détacha ensuite d’elle pour la fixer. « C’est ça que je veux ! Tu comprends maintenant ?! » Elle aurait presque trouvé la scène ridicule si elle n’en avait pas été l’actrice. Elle passa de quelques longues secondes sans rien dire, choquée, les yeux grands ouverts, tentant de faire le tri entre tout ce qu’elle pouvait bien ressentir à cet instant. Il la lâcha finalement et, certainement déçu de son manque de réaction, il commença à partir, la tête basse. Maxine était paralysée. Elle n’avait aucune idée de ce qui était en train d’arriver, mais sans réfléchir, elle lui attrapa la main pour le retenir. Elle n’aurait jamais pensé que ce soit lui, le grand amour, et pourtant, elle ressentait ça. Malgré son incertitude, malgré son manque de confiance, elle voulait qu’il soit là. Après ce premier baiser bien surprenant, il l’invita pour un rendez-vous et elle sut aussitôt qu’elle avait besoin de lui dans sa vie. Lexie fut la première au courant, évidemment, puis des présentations plus officielles ne furent pas très longues à arriver. Ils s’aimaient et c’était parfait comme ça, ils étaient persuadés que ça allait durer toute leur vie.
- Demande + Grossesse :
Quatre ans après, Maxine et James formaient le couple parfait. Ils étaient inséparables, s’aimant comme des fous, passionnément. Il était tout pour elle, et elle n’imaginait pas le perdre. Elle n’était pas délivrée de ses complexes, bien sûr, mais il la calmait. Il était celui qui la faisait rire, qui rendait sa vie bien plus heureuse, qui lui faisait oublier la peine de l’abandon de son père, de sa trahison, celui qui la croyait elle plus que quiconque. James était l’homme idéal pour elle. Ils envisageaient l’avenir ensemble, même si pour Maxine, avoir des enfants représentait l’une de ses plus grandes peurs. Elle était persuadée qu’elle serait une mauvaise mère, sans de raison valable, peut-être, mais elle en était absolument convaincue, si bien que les seules réelles disputes qu’ils avaient portaient sur ce sujet. Lui, il n’était pas d’accord, et il voulait avoir des enfants avec elle, il voulait être père, qu’ils vieillissent ensemble, continuant de s’aimer jusqu’à la fin. Un soir, alors qu’elle rentrait dans leur appartement après sa journée de travail habituelle, les pieds en compote après avoir tenu toute la journée sur ses talons, il vint l’accueillir, des roses rouges à la main, douze exactement. Il lui prit ensuite la main pour la conduire à table, impeccable, élégante, avec une bougie en plein milieu, un vrai dîner romantique, elle sourit aussitôt. Oh, elle n’avait pas encore tout compris, non, mais elle était ravie qu’il ait fait l’effort de préparer un si beau repas. Il était incroyable. Le dîner se passa parfaitement bien, ils avaient ri, elle s’était extasiée sur sa cuisine, il avait dû passer du temps à tout faire, puis arriva le dessert. Il débarrassa la table et revint ensuite vers elle, sans aucun plat. « Ben alors, la tarte a cramé ? » Elle avait ri, il s’était joint à elle, bien plus nerveux cependant. Puis, sans crier gare, il s’était agenouillé devant elle. « Maxine… J’ai pas de grand discours à faire, ou plutôt, je préfère ne rien dire parce que je sais que tu viendrais me contredire si je te racontais à quel point tu es merveilleuse… Le fait est que ça fait six ans qu’on se connaît toi et moi, même si au début ça a été plutôt chaotique, maintenant, c’est le pur bonheur. Tu me rends vraiment heureux, et j’espère pouvoir dire que je te rends heureuse… Maintenant je voudrais passer toute ma vie avec toi. Veux-tu m’épouser ? » Il avait sorti une petite boîte noir de sa poche, contenant une magnifique bague en or blanc. Elle avait déjà commencé à pleurer, décidément trop sensible. Lui, il avait souri de toutes ses dents, rigolant un peu face à sa réaction. En réponse, elle hocha la tête rapidement, trop émue pour parler, et lui avait sauté dans les bras, pleurant bêtement à chaudes larmes, ne se sentant pourtant pas assez bien pour être sa femme. « Je crois que c’est mort pour jurer de ne jamais te faire pleurer… » Elle avait rigolé et l’avait embrassé, puis il lui avait passé la bague au doigt. Elle était fiancée à lui, unie pour toujours. « Tant que c’est des larmes de joie, ça va. » Elle se réfugiait dans ses bras, à l’aise, heureuse d’avoir un jour croisé sa route. Presque un an après, sa vie changea une nouvelle fois. Lorsqu’elle découvrit qu’elle n’avait pas eu ses règles, elle s’était automatiquement inquiétée, mais n’avait rien dit à son fiancé. Ce ne pouvait pas être ça, pas vrai ? Pas si vite… Quand avaient-ils oublié de se protéger ? Elle paniquait à l’idée de porter un petit être en elle. Elle fila directement chez un médecin sans passer par la case test de grossesse et ses doutes furent vite confirmés. Elle était enceinte. Elle n’arrivait pas à y croire. Porter un bébé, c’était bien trop de responsabilités, elle n’était pas prête, elle ne se sentait pas assez bien pour être mère, toujours bel et bien complexée. Elle rentra chez elle en traînant des pieds, abasourdie. Elle arriva vers James avec la tête d’un zombie, totalement vidée. « Max ? Qu’est-ce qui t’arrives ? Tu ne te sens pas bien ? Tu es toute blanche… » Il s’inquiétait pour elle. Elle releva la tête vers son fiancé et, la gorge serrée, lui annonça la nouvelle. « Je… suis… Je suis enceinte… » Il lâcha aussitôt ce qu’il avait dans la main, choqué à son tour. Quelques instants de silence suivirent, puis il se mit à sourire, profondément ému. « C’est vrai ? Tu es sûre de ça ?! » Elle ferma les yeux, tentant de calmer sa panique, et hocha la tête. Il s’approcha rapidement d’elle pour la prendre dans ses bras, la soulevant même au sol de bonheur. « C’est magnifique !! Un bébé !! Max ! On va être parents !! » Il souriait comme jamais, et elle n’avait pas le cœur à lui dire qu’elle ne partageait pas ce bonheur. Pour elle, c’était une catastrophe. Elle se contenta de sourire poliment, ne voulant pas lui faire de la peine. Comment allait-elle faire pour élever un enfant avec si peu de confiance en elle ?
- Séparation :
Les mois passaient et Maxine n’était toujours pas prête. Avoir un bébé, ce n’était pas dans ses plans, certainement pas à son âge ! Elle pensait attendre d’avoir surpassé ses angoisses, ses complexes, et toutes ces choses qui la rendaient tellement inapte à élever un enfant. Plus le temps passait, plus elle paniquait. James, quant à lui, cherchait déjà à faire du bureau une chambre, repeindre les murs et modifier la décoration, il était si joyeux à l’idée d’être père que c’en était inquiétant. Ils parlaient parfois du prénom qu’ils pourraient bien lui donner, à ce petit être, et chaque fois, Maxine ressentait l’envie de pleurer. Comment pourrait-elle être une bonne mère ? Pour elle, c’était impossible. James ne comprenait pas son point de vue. Il répétait souvent qu’il serait là pour l’aider si elle n’avait pas confiance, comme si c’était suffisant. Ca aurait dû l’être, oui, mais elle était bien plus compliquée que ça. Il était trop tard pour faire demi-tour à présent, elle ne pouvait plus arrêter la grossesse, elle allait devoir lui donner naissance, mais ensuite ? Elle était morte de trouille. « Je ne peux pas faire ça… Je ne peux pas être mère, pas maintenant ! » Elle avait fini par éclater, pour la première fois en six mois de grossesse. James stoppa son activité pour la regarder, pas bien sûr de comprendre. « Qu’est-ce que tu veux dire ? On en a déjà parlé Max, je serai là, avec toi, on sera tous les deux pour l’élever. » Non, il n’avait pas son point de vue. Elle baissa la tête, honteuse de ce qu’elle allait dire. « Je ne veux pas de ce bébé… Je sais que je le rendrai malheureux… Je vais tout foirer, James. » Elle en était tellement convaincue que personne, aucun être sur Terre, pas même James, pas même Lexie, pas même Naël ou sa mère, ne pouvait lui dire le contraire. « Arrête tes bêtises, tout ira bien tu verras. » Il s’approcha d’elle, prêt à la prendre dans ses bras pour la rassurer mais Maxine se recula. « Tu comprends rien ! Je te dis que je ne veux pas l’élever !! Je ne veux pas avoir d’enfant ! Pas maintenant ! Je ne serai pas capable de m’en occuper, je le sais ! Et que tu sois là ou non ne changera rien ! » Ce fut certainement la parole de trop, celle qu’elle aurait voulu retirer à tout prix. Elle avait besoin de lui plus que jamais. « Ah oui ? Ca ne change rien ?! Tu comptes faire quoi alors ?! L’abandonner ?!! C’est notre bébé ! Une partie de toi et moi !! Tu comptes abandonner ça ?! » Il avait raison, ce bébé, c’était leur union, plus importante que le mariage, plus définitive aussi. Elle baissa simplement la tête pour simple réponse, confirmant ainsi ce qu’il venait de suggérer. Elle venait de briser le cœur de l’homme qu’elle aimait. « Tu crois pas que j’ai mon mot à dire ?! Je ne te laisserai pas l’abandonner, Max !! » Elle éclata en sanglots, de nouveau paniquée. « Et tu comptes faire quoi pour m’en empêcher ?!! Il sera bien mieux dans une autre famille ! Il serait bien élevé, il sera aimé, il sera choyé, il aura la droit à une bonne mère qui s’occupera bien de lui ! » Ce fut à son tour de pleurer. Elle voyait à quel point il lui en voulait déjà. « Ici aussi il serait aimé et choyé !! Mais puisque tu refuses d’y croire, je ne sais pas ce qu’on fait encore ensemble toi et moi ! » Suite à ces mots, il fila dans la chambre et prépara ses affaires, avant de revenir vers elle, caressant sa joue tendrement malgré sa colère. « T’as raison, t’as tout foiré. On aurait pu être heureux. » Un dernier regard, et il passa la porte de l’appartement pour ne plus jamais revenir. Dès que la porte claqua, Maxine s’effondra au sol. Cette fois c’était fini, et c’était de sa faute.
A savoir qu'elle a accouchée, évidemment, que l'enfant est un petit garçon nommé Sasha qu'elle a bel et bien abandonné. Après ça, elle a tenté de se suicider quelques mois après, sauvée par sa soeur. Maintenant, elle veut retrouver James et se faire pardonner. Lexie Fitzgerald ✩Ex-(future) belle-soeurLexie a toujours pensé que James était l'homme idéal pour sa sœur et malgré leur séparation brutale, qui les a brisés tous les deux, elle aimerait qu'ils se remettent ensemble. Elle sait qu'avec lui, Maxine est différente et que c'est le seul qui la fait se sentir bien. Néanmoins, bien qu'elle soit très proche de sa sœur, elle se met à la place de James et ne peut pas s'empêcher d'éprouver de l'empathie pour le jeune homme. Trouvant qu'ils ont toujours formé le couple parfait, elle va essayer de les pousser de nouveau l'un vers l'autre.
Dernière édition par Maxine Fitzgerald le Mer 9 Juil - 8:35, édité 2 fois |
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