Invité Invité
| Sujet: (F) KRISTEN BELL ~ we said forever and always Ven 13 Juin - 22:17 | |
|
Smoak, Sara you didn't mean it baby. ❖❖❖
nom Smoak, mais c'est négociable. Elle peut avoir repris son nom de jeune fille ou avoir un nom composé avec les deux prénom(s) Sara. âge 34 ans date, lieu de naissance jj/mm/1980, au choix. origines au choix. statut civil Divorcée. orientation sexuelle Hétérosexuelle. étude ou boulot Je l'imagine bien avocate mais c'est négociable. caractère Douce, sérieuse, intelligente, amusante, attentive, maternelle, ambitieuse, déterminée, élégante, souriante, naturelle, sympathique, courageuse, curieuse, gourmande, enjouée. groupe Azalae. avatar Kristen Bell
à savoir ✩ Son enfance et adolescence est libre. ✩ Elle rentre à Columbia l'année de ses 18 ans en pré-rentrée. ✩ Elle est passionnée par sa carrière mais aimerait aussi avoir un enfant ou deux. ✩ Elle se marie à 22 ans avec Gerry. ✩ La douzième année de leur mariage, ils ont un accident de voiture alors qu'elle menace de divorcer. ✩ Elle perd la mémoire, quand elle se réveille trois semaines plus tard, elle ne se rappelle de rien. ✩ Il y a une semaine, elle découvre que Gerry lui a menti. Ils n'ont pas divorcé avant son accident mais il a signé les papiers le jour de son réveil. ✩ Elle est partie le retrouver, espérant retrouver ses souvenirs. Elle n'a aucune idée que Gerry est le genre d'homme à déjà être passé à autre chose. ✩ Le reste est libre (a).
gerry smoak ✩ex-femme.Ils se sont rencontrés à la fac. Elle, le petit génie qui faisait la pré-rentrée à Columbia, oui l'étudiant gamma endormi dans le couloir de la résidence après une soirée trop arrosée en caleçon. Elle a tout de suite attiré son regard et il a passé un an à lui courir après. Il lui plaisait aussi mais elle le repoussait parce qu'elle voyait déjà comment elle tombait tête la première pour lui. Elle avait peur de souffrir. Finalement, ils se sont mis ensemble, ils ont mis un an de plus pour admettre qu'ils s'aimaient. Sara a fini ses études et deux ans après, ils se mariaient. Un mardi après-midi. Ils ont passé neuf ans de mariage parfaits avant que Sara n'amène le sujet des enfants. Ca a fait éclater leur mariage. Gerry n'en a jamais voulu, elle en voulait juste un. Ils se sont disputés à avoir la voix cassée, à se jeter de la vaisselle au visage. Le point de retour est deux ans plus tard, l'année de leur onze ans de mariage. Ils vont à une soirée pour le travail de Sara, Gerry boit trop et tabasse un de ses collègues à cause de la jalousie. Dans la voiture pour rentrer chez eux, Sara ressort les papiers du divorce qu'elle a déjà signé. Gerry ne voit pas la voiture arrivée. Sara plonge dans le coma pendant trois semaines. Quand elle se réveille, elle ne se rappelle plus de rien. Tout juste de son nom. Pensant faire ce qu'il y a de mieux pour elle, Gerry signe les papiers du divorce, prétend qu'ils avaient déjà divorcé quand ils ont eu l'accident et déménage à Anchorage. Néanmoins, Sara vient de découvrir toute la vérité et elle a décidé de retrouver son ex-mari pour comprendre parce qu'une part d'elle c'est que c'est la bonne chose à faire. Gerry, en attendant, est avec une autre femme deux fois plus jeune que lui, en train de tomber amoureux d'elle même s'il aime toujours Sara. - extraits de ma fiche:
+ part five : La fac a des goûts de paradis et New York est comme un rêve. En réalité, l'odeur l'été est épouvantable, les rues étouffantes, la foule oppressante. Mais Gerry adore New York. Il s'y sent vivant pour la première fois depuis longtemps. Il a l'impression de renaître, d'avoir des ailes. Il passe quatre ans à faire la fête tous les soirs, à boire plus que de raison et à ramener une fille différente chaque jour. Il entreprend des études de commerce parce que c'est quelque chose qui l'intéresse et réussit à se faire des bonnes connaissances. Il voit un avenir s'offrir à lui et il hâte de le découvrir. Il s'imagine un futur rempli d'argent, de filles, d'alcool et bons temps. Sa vie va être comme dans ses films où cet homme à la vie dont tout le monde rêve. Ce sera lui. La seule chose à laquelle Gerry ne s'attend pas, c'est l'amour. Et pourtant, il lui tombe dessus comme une flèche en plein coeur. Ce matin-là, il se réveille avec un goût atroce dans la bouche, la joue collée contre quelque chose en plastique et c'est la pire gueule de bois qu'il ait eu depuis longtemps. Il se redresse lentement et grimace quand le soleil le frappe en plein visage. Il met du temps à réaliser ce qu'il l'a réveillé. Devant lui se tient une blonde - jolie d'après ce qu'il peut voir - une expression mi-amusée mi-consternée sur le visage, une valise dans la main. Vous bloquez l'accès à mon dortoir. Oh. Autour de lui reste des souvenirs de la soirée d'hier soir. Des bouteilles de bières, des gobelets en plastique, du papier toilette accroché au mur. Il est endormi sur une bouée en forme de canard. Il fronce les sourcils, se rappelant à peine de ce qui s'est passé. Mais ça devait être d'enfer. Il sourit comme un idiot jusqu'à ce que l'inconnue se fasse de nouveau remarquer. Est-ce que vous allez vous pousser ou pas ? Il se retourne sur le ventre, se gratte le torse et réalise qu'il ne porte qu'un caleçon. Ca a vraiment dû être une soirée de malade. Du calme, poupée, la rentrée c'est pas avant trois mois. T'es en avance. D'un coup il se reçoit un coup de pied dans les côtes. Il se redresse trop rapidement parce qu'il a soudain envie de vomir mais Aïe ! Premièrement, vous m'appelez encore une fois poupée, je vous le fais regretter. Deuxièmement, j'ai été acceptée en avance à Colombia. Maintenant, est-ce que je peux passer ? Avec un grognement, Gerry se redresse et la laisse passer. La blonde enjambe la bouée et s'éloigne avec sa valide. Gerry hésite deux secondes avant de lui courir après. Attends, tu m'as pas dit ton nom. Elle s'arrête un instant avant de reprendre sa route en lançant par-dessus son épaule : Sara.
+ part six : Le mariage a lieu un mardi après-midi dans Central Park. Sara vient de recevoir son diplôme, lui gravit les échelons dans l'entreprise où il travaille et ils s'aiment comme au premier jour. Il a fallu un an pour convaincre Sara de sortir avec lui et un autre an pour qu'ils s'admettent s'aimer. Ca n'a pas été facile. Ils sont radicalement opposés et ils se souvent disputés mais Sara le comprend comme personne. Elle l'aime pour qui il est. Gerry a dû lâcher ses sales habitudes pour elle mais il ne le regrette pas une seule seconde. Toutes les fêtes du monde ne valent pas Sara. Quand il s'avance dans l'allée, il n'est pas nerveux. Il n'y a qu'une trentaine d'invités et c'est bien suffisant. Il sourit quand il voit Sara arriver, tellement magnifique dans sa belle robe blanche. Il se dit qu'il est l'homme le plus heureux du monde. Il regrette de ne pas pouvoir partager ce moment avec sa famille, sa Dana mais Sara l'a aidé à surmonter la douleur. Quatre ans de différence et elle est beaucoup plus mature que lui. Quand elle arrive à sa hauteur, il entrelace leurs doigts et ils se tournent vers le prêtre. Il n'écoute pas vraiment son baratin, trop occupé à dévisager sa future femme du regard. Sara le surprend et lui jette un regard réprobateur. Rien que pour ça, il sourit de toutes ses dents. Ils ont décidé d'écrire leurs propres voeux et si Gerry a un peu protesté, finalement, les écrire n'a rien eu de compliqué. Ce n'est pas difficile de trouver les mots pour dire à quel point il aime cette jolie blonde. Sara se lance la première. Elle arrive difficilement à la fin de ses voeux, les larmes aux yeux, les mots secoués par les sanglots. Elle a toujours été émotive. Il l'a souvent taquinée à ce sujet. Son discours est dégoûlinant de romantisme, tout ce qu'il détestait à une époque mais maintenant, il en veut toujours plus. Quand vient son tour, il ne se sent pas nerveux, les mots mémorisés dans son esprit. Sara Fletcher est une idiote. Il peut entendre le silence pesant dans l'assemblée et voit le regard à moitié offusqué de sa future femme mais il continue. Elle a décidé de m'épouser moi. Ce type qu'elle a rencontré un matin dans un des couloirs de notre résidence universitaire, en caleçon, endormi sur une bouée en canard et avec la pire gueule de bois de l'histoire. J'avais la pire haleine du monde ce jour-là, pire qu'une bombe nucléaire et pourtant elle est là. Je peux voir tout son amour pour moi dans son regard et je me demande ce que j'ai fait pour mériter une femme aussi parfaite. J'espère que Sara Fletcher bientôt Smoak restera une idiote toute sa vie. Ce n'est pas de la poésie mais il pense et c'est suffisant pour Sara l'embrasse sans même attendre le prête. Voilà pourquoi il l'aime.
+ part seven : Dix années de mariage passent. Ce n'est pas toujours facile. Ils ont leurs disputes, leurs moments mais ils font marcher les choses. Jusqu'au jour où le mot fatidique est amené. Bébé. Après ça, le monde de Gerry s'écroule. Plus rien ne va entre eux si ce n'est les disputes. Ca ils savent faire. Ils se crient dessus, se jettent de la vaisselle aux visages, découchent. L'un comme l'autre est jaloux et ils se retrouvent à se soupçonner de tromperie. Gerry recommence à faire le con. Il sort le soir, rentre le matin. Il boit, fait la fête avec des étudiantes de presque deux fois son âge. Sara ne supporte plus la situation et demande le divorce. Elle signe les papiers mais dans un dernier effort, ils tentent de sauver leur couple. Ils vont voir un conseiller conjugal mais ça n'arrange rien. Gerry ne veut pas d'enfants, Sara essaie de comprendre pourquoi, elle ramène sa famille morte et ils se déchirent à nouveau. Jusqu'à ce soir où ils atteignent le point de non retour. Gerry est au bar à une réception pour le travail de Sara à la regarder rire et toucher régulièrementle le bras d'un collègue. Il finit sa coupe de champagne. Quand l'homme se penche à l'oreille de Sara pour lui murmurer quelque chose, il voit rouge. Il se jette sur lui et il manque de l'envoyer à l'hôpital. Sara le traine dehors. Le silence dans la voiture est à couper aux couteaux. Finalement, Gerry branche la radio. Sara la coupe aussitôt. On va jouer à ça maintenant ? On a quel âge ? Je sais pas. Dis-moi. Non mais tu te rends compte que c'est mon supérieur que t'as failli tabasser à mort. Je supporte plus cette situation Gerry. Quand on rentre, je ressors les papiers du divorce et tu les signes. Je supporte plus de vivre comme ça. C'est comme coup de couteau dans le dos. Il serre les poings sur le volant, son pied appuie un peu plus sur la pédale d'accélérateur et en même temps, il se tourne vers Sara. Je veux pas divorcer. Je t'aime, merde. Mais je veux pas d'enfants. Tu peux pas comprendre ça ? Je... GERRY ! La voiture sort de nulle part et tout devient noir.
+ part eight : Sara se réveille trois semaines après l'accident. Gerry reçoit un appel du médecin ce jour-là. Ce dernier a une voix des plus calmes au téléphone et Gerry ne sait pas comment il fait pour paraître aussi froid. Comment il peut lui expliquer aussi gentiment que sa femme a été gravement blessée à la tête et qu'aujourd'hui elle ne se rappelle de rien. Elle sait tout juste quel est son nom. Quand il va l'avoir dans sa chambre d'hôpital, elle est assise, elle a repris des couleurs et elle a l'air beaucoup plus vivante que les dernières fois où il l'a vue. Il a amené des affaires pour elle au cours de ses dernières semaines et elle est en train de les étudier avec curiosité. Elle a le nez froncé comme il aime, cette expression qui lui donne envie de l'embrasser. On dirait qu'elle pourrait résoudre les énigmes du monde entier quand elle est comme ça. Il toque doucement à sa porte. Elle relève brusquement la tête et l'observe avec intérêt. Gerry ? Son coeur s'arrête dans sa poitrine. Comment le sait-elle ? Il croyait qu'elle ne se rappelait de rien. Ou pas. Je croyais avoir retenu le visage ou le nom de mon mari. Alors, mauvais visage ou mauvais nom ? Il cligne des yeux plusieurs fois avant de prendre une expression neutre. Non, tu ne t'es pas trompé. C'est bien Gerry. Il ne rajoute rien et elle commence à gigoter un peu dans son lit. Il peut dire qu'elle est à la fois curieuse et mal à l'aise. Donc on est marié ? demande-t-elle. Il inspire brutalement. D'un coup, la vérité le frappe. Ce jour à Sara l'a épousé, elle a réellement été stupide. Il ne pourra jamais la rendre heureuse comme elle mérite. Il n'a jamais été fait pour la vie de couple. Avec une boule dans la gorge et une douleur dans la poitrine, il secoue la tête. Divorcé en réalité. On a signé les papiers quelques jours avant l'accident. Je venais juste voir comment tu allais. Oh. Après ça, elle a quelques questions auxquelles il répond même s'il n'a qu'une envie c'est de partir loin, très loin d'ici. De New York. Finalement, Sara fatigue et il l'embrasse sur le front Adieu Sara. Son entreprise vient d'ouvrir une filiale en Alaska. Il demande sa mutation le lendemain.
|
|
Invité Invité
| Sujet: Re: (F) KRISTEN BELL ~ we said forever and always Ven 13 Juin - 22:17 | |
| |
|
Invité Invité
| Sujet: Re: (F) KRISTEN BELL ~ we said forever and always Sam 14 Juin - 5:48 | |
| Regardes qui est là!!! Je suis tombée in love de ton scénario! Par contre, j'ai un peu de mal avec KikiBell J'ai pensé à Emily Vancamp ou Lauren German, (pour le moment j'ai pas d'autres idées) mais si tu as d'autres idées que tu préfères, je ne dis pas non! J'ai quelques questions donc je risque de venir bientôt polluer ta messagerie |
|
Invité Invité
| Sujet: Re: (F) KRISTEN BELL ~ we said forever and always Sam 14 Juin - 5:56 | |
| |
|